l’Ormiellerie est une marque et un atelier de pâtisserie marocaine “haute couture”, dont le cigare au miel est leur première création.
La naissance
L’Ormiellerie est avant tout une histoire de famille.
L’histoire de traditions que l’on se transmet de générations en générations, lors de confidences dans la cuisine. Originaires du Maroc, Aïda et sa sœur Kenza avaient à cœur de monter un projet qui fasse honneur à leurs racines. Toutes deux diplômées du prestigieux Institut Paul Bocuse, à Lyon, elles décident de se tourner vers une pâtisserie marocaine dont les arômes les accompagnent depuis l’enfance : le cigare au miel.
Les notes de miel, d’amandes, de fleur d’oranger et de citron de cette pâtisserie font écho à la rupture du jeûne au Ramadan, aux mariages et au thé à la menthe partagé en famille ou entre amis. Plus qu’une pâtisserie, le cigare au miel représente l’art de vivre marocain : généreux, hospitalier, voluptueux. Une pâtisserie qui invite aussi au voyage, à découvrir le patrimoine culinaire du pays.
Le produit phare
Le cigare au miel de l’Ormiellerie n’est donc pas une pâtisserie au miel ordinaire.
C’est le savant mélange de deux pays à la gastronomie noble, élégante et affirmée, le Maroc et la France.
Croquer dans le cigare au miel de l’Ormiellerie, c’est apprécier la délicatesse de sa feuille de brick roulée, enrobée de miel aux fleurs sauvages renfermant une pâte aux subtils arômes d’amandes, fleur d’oranger et citron.
Un délice qui se savoure jusqu’au bout, c’est-à-dire en se léchant les doigts !
Le saviez-vous ?
Le cigare au miel, appelé « briwa » au Maroc qui signifie petite enveloppe, est une pâtisserie à base d’amandes émondées puis grillées. La farce est parfumée de fleur d’oranger puis enveloppée d’une fine feuille de brick croustillante. Elle est ensuite enrobée de miel et ornée de graines de sésame.
La pâtisserie traditionnelle marocaine est loin d’être une chose que l’on prend à la légère. Intimement liée à chaque instant de la vie, elle en ponctue les grands moments et en marque les événements majeurs : les naissances, les mariages ou décès, ils s’accompagnent tous de sucreries spécifiques, faites pour l’exalter ou l’adoucir. Plongeant ses racines dans un patrimoine préservé, la pâtisserie appartient à la longue et belle histoire d’un pays où l’épicurisme est érigé en art de vivre.